Retour à Hilam [PV Sanadria]

Comme à chaque fois que je m'apprêtais à ouvrir cette porte, la tristesse me submergeait. C'est ici que j'étais né, que j'avais grandit... Tant de moment heureux me rattachais à cette maison. Mais c'est aussi la que j'avais vécu les pires instants de ma vie... Avec un soupire, j'ouvris la porte en bois noir et entrai dans ce qui était ma maison. Une bâtisse de taille moyenne, caché par la végétation, à l'écart des autres. C'était chez moi. L'endroit qui avait connu la mort de ceux que j'aimais le plus, mais paradoxalement, celui ou je me sentais le plus en sécurité.
J'entrais dans ce qui servait de salon et me laissai tomber sur la banquette. Enfin! J'allais pouvoir me reposer!
Ces derniers mois, j'avais parcouru tout Hizikan à la recherche de contrat plus ou moins honnête, mais surtout profitable. La jolie somme que j'avais amassé allait me permettre de rester tranquille un petit moment. Et surtout de me consacrer aux recherche. Car même s'il s'était écoulé plus de dix ans depuis l'assassina de ma mère, je ne perdais pas espoir de retrouver le ou les meurtrier et de leur faire payer. Un certain proverbe humain dit que la vengeance est un plat qui se mange froid. Dans mon cas, elle aura eut de longue années pour refroidir...

Mais pour l'heure, je ne voulais qu'une seule chose: me reposer. La route avait été longue depuis Karokas.
C'est à cet instant que j'eu une étrange impression. Je ne saurais décrire ce que je ressentais, mais quelqu'un arrivait. J'en étais sur. Même si j'avais quelques connaissance à Hilam, personne ne me connaissait assez pour aller me rendre visite. Surtout que personne ne devait être au courant de mon retour... Etrange, mais pas impossible. Cependant, je préférais ne pas prendre de risque et je posais la main sur le manche d'une dague accrochée à ma ceinture.
Puis j'attendis.

Une voix retentit devant la maison:
- Lâchez cette arme. Je viens en paix. quelqu'un cogna à la porte, puis, après quelque seconde, entra. C'était un drow, que tout le monde ici connaissait. Ou presque. On le croyait partit pour le royaume humain, mais apparemment, il était de retour.
- J'ai entendu parler de vous. À ce qu'il parait, vous vous débrouiller plutôt bien, dans notre métier. Mais vous faîte cavalier seul. Ce que je n'apprécie guère. Vous gâchez votre talent. Venez avec moi, et ce n'est plus des querelles d'alcoolique que vous règlerez, mais bien des rois que vous égorgerez. Pensez-y un instant. Il s'approcha et lui chuchota, avant de s'assoir à coté d'elle: Je vous offre de vivre dans un palace, dans mon palace. Il se cala confortablement sur la banquette et attendis la réponse..

- Lâchez cette arme. Je viens en paix.

C'était une voix d'homme. Quelques secondes après, on toqua à la porte. Je n'eu pas le temps d'allez ouvrir. Un drow entra. Un drow que je ne connaissait absolument pas. Complètement abasourdie, toujours assise et ma dague en main, je le vis s'approcher tranquillement de moi:

- J'ai entendu parler de vous. À ce qu'il parait, vous vous débrouiller plutôt bien, dans notre métier. Mais vous faîte cavalier seul. Ce que je n'apprécie guère. Vous gâchez votre talent. Venez avec moi, et ce n'est plus des querelles d'alcoolique que vous règlerez, mais bien des rois que vous égorgerez. Pensez-y un instant. Je vous offre de vivre dans un palace, dans mon palace.

Puis il s'assit et sembla attendre ma réponse. Il me fallut quelques secondes pour analyser ses paroles et reprendre contenance:

-Votre proposition est assez... soudaine. Je viens de rentrer, je ne connais rien de vous et travailler en solitaire m'a toujours bien convenu.

L'offre était tout de même alléchante. Egorger des roi? La prime devait être à la hauteur de leur richesse, soit très élevé. C'était peut être cruel de penser ainsi, mais je n'était pas une mercenaire pour rien! Je regardai de nouveau le drow avant de répondre.

-L'offre me plait bien. Mais avant d'accepter, je voudrais en savoir un peu plus sur vous.

Je rengainai mon arme. Après tout, s'il voulait m'embaucher, il n'allait quand même pas m'attaquer.

-Votre proposition est assez... soudaine. Je viens de rentrer, je ne connais rien de vous et travailler en solitaire m'a toujours bien convenu. L'offre me plait bien. Mais avant d'accepter, je voudrais en savoir un peu plus sur vous. *devrais-je lui mentir? de toute façons, elle découvrirait bien la vérité un jour ou l'autre.*
- Tu peux m'appeler Sanadria. Je dirige une guilde d'assassin, qui est présentement la guilde de Kaidan, le roi humain. Elle s'appelle la rose noir. Mais bon, puisque le roi ne nous fournis pas assez de travail, nous prenons aussi les contrats. En ce moment, nous cherchons à recruter pour détruire la concurrence. Tu gardera presque entièrement ton indépendance. Tout ce que je demande, c'est que tu me fasse un rapport quotidien, sur chaque contrat que tu a pris. Tu sera loger et nourris, ainsi que approvisionner en divers équipement. Pour les truc plus... disons exotique, il va falloir que tu vois avec Billy. Ah, j'allais oublier: tu ne sera pas payer, mais pour chaque contrat que tu prendra avec la guilde, tu recevra une prime. Veux-tu que je repasse dans quelque jour, pour que tu puisse y penser?

Finalement, ça n'allait pas tellement changer mes habitudes. De plus la guilde était dirigé par un drow ce qui allait faciliter les choses, les autres races aillant du mal à accepter les elfes noirs.
Je ne voyais que les points positif que cela pouvais apporter. Etre loger et nourri était un avantage non négligeable. De plus, si je pouvais être approvisionné en équipement, ça allait m'éviter de nombreux frais comme la constante réparation de mes armes. La seule chose qui me déplaisait était d'avoir des supérieurs et de devoir faire des rapports sur mes contrats... Mais bon, si je gardait mon indépendance, ça ne devait pas trop me gêner. Oui, plus j'y pensais, plus je trouvais que c'était une bonne idée de rejoindre cette guilde, la Rose Noire.
Pas besoin de plusieurs jours pour réfléchir à une telle offre.

- ça me va comme ça. J'accepte de rejoindre la guilde.

Je réfléchis un instant avant de demander:

-Il y a beaucoup de membre pour l'instant?

- ça me va comme ça. J'accepte de rejoindre la guilde.
Sanadria sentit qu'elle voulais continuer et attendis
-Il y a beaucoup de membre pour l'instant?
- ça dépend de votre définition de beaucoup. nous sommes environ... 75 assassins. plus le double de personne autre, pour les nourrir, les équiper, réparer leur armes. ainsi que plusieurs bureaucrate, et informateur. il y a aussi quelque recrus. une bonne *Sanadria insista sur le bonne* guilde n'est pas qu'un paquet de personne avec les même goût. C'est un organisme qui a besoins de se nourrir, de respirer, de bouger. Et qui élimine les déchets *ici il sourit* Si tu es ambitieuse, tu montera vite les échelons. Nous aimons laaa... combativité chez nos employés. Notre politique est de ne garder que les plus fort. Mais je suis sur que vous survivrez. faîtes juste attention à surveiller votre dos. ah , j'allais oublier. si jamais vous nous trahissez, vous serez sur la liste de nos cible. Mais je suis sur qu'une créature aussi belle que vous ne ferez jamais quelque chose d'aussi lâche et stupide. Quand serez vous prêtes à partir?

Soixante quinze assassins... Cela faisait quand même beaucoup... Les menaces voilées de Sanadria ne me plaisaient pas trop, mais j'avais suffisamment été seule pour toujours surveiller mes arrières. Evidemment, je ne devrais pas trahir. Bien que de mon point de vue ça ne soit pas forcément une action de lâche, c'était en effet stupide. Me retrouver avec autant d'assassins sur le dos n'allais pas augmenter mes chances de survit. De toute façon, j'avais déjà donné mon accord.

-Quand serez vous prêtes à partir?

Là je du quand même réfléchir. Je jetai un regard par la fenêtre qui ne laissait presque pas entrer de lumière tant la végétation autour était dense. Dans l'immédiat, j'étais prête puisque je venais d'arriver et n'avais pas eut le temps de ranger tout mon matériel. Mais après ces long mois passé à parcourir Hizikan, je préférais quand même me reposer quelques jours avant de reprendre la route... Je secouais la tête. Non, je serais incapable de me reposer si je n'avais pas d'abord vu cette guilde de mes propre yeux.
Je regardai de nouveau le drow, déterminée.

- Je suis prête.

-Bien. Tu vas voir, on va bien s'amuser ensemble. Tu vas vite trouver du travail rendus là-bas. Il y a deux tableau à chaque étage. selon tes aptitudes, tu aura accès à différent niveau. plus tu es bonne, plus tu monte dans la guilde. À chaque mois, il y a un examen pour monter de niveau. Pour le moment, tu as un dernier contrat à faire, prend le comme une sorte d'initiation. Si tout se passe bien, tu sera admise. Ce travail nous permettra aussi de te juger. Bien sûr, tout ce que tu fera sera hautement secret.

(suite à werso si tu accepte)

-Bien. Tu vas voir, on va bien s'amuser ensemble. Tu vas vite trouver du travail rendus là-bas. Il y a deux tableau à chaque étage. selon tes aptitudes, tu aura accès à différent niveau. plus tu es bonne, plus tu monte dans la guilde. À chaque mois, il y a un examen pour monter de niveau. Pour le moment, tu as un dernier contrat à faire, prend le comme une sorte d'initiation. Si tout se passe bien, tu sera admise. Ce travail nous permettra aussi de te juger. Bien sûr, tout ce que tu fera sera hautement secret.

Un contrat? Déjà! Je n'avais vraiment pas le temps de souffler avec cette histoire. Mais je supposais que je n'avais pas le choix... Je me levais, ayant soudain hâte de partir.

-Très bien.

[Je te laisse créer le sujet à Werso]

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